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L'association Le droit de guérir a été dissoute le 23 juillet 2024 après validation de la Préfecture de Police de Paris.
Néanmoins, une passation avec l'association France Lyme est en cours...
Veuillez trouver les informations essentielles en suivant ce lien :
https://www.ledroitdeguerir.com/l-association/dissolution/
L'équipe de l'association Le Droit de guérir
Un morceau d'histoire...
Dans les années 70, une épidémie d’arthrite chez de nombreux jeunes dans la ville de Old Lyme aux Etats-Unis a poussé certains chercheurs à investiguer.
L’un d’eux, Willy Burgdorfer, a identifié une bactérie, la Borrélia, comme potentiellement responsable de cette épidémie.
L’épidémie ayant commencé dans cette ville, le nom de « Maladie de Lyme » lui a été attribuée.
Des experts américains se sont alors réunis et ont proposé un protocole de soins et des tests de dépistage. En France, les mêmes directives ont été appliquées.
Pour les tests de dépistage, ils ont fait le choix de les calibrer de façon à ne jamais détecter plus de 5% de malades dans une région donnée, ce qui a pour conséquence de définir cette maladie comme rare.
Pour le protocole de soins, cette directive imposait une antibiothérapie de 21 jours, renouvelable éventuellement 1 fois lorsque le malade avait « la chance » de voir apparaître un érythème migrant (cocarde rouge).
Dans les années 1980, des scientifiques ont lancé l’alerte, puisqu’ils ont prouvé, déjà à l’époque, à l’aide d’un microscope électronique, que les bactéries responsables de cette maladie pouvaient se transformer en kystes et en d’autres formes, ce qui leur permettait de résister aux antibiotiques pendant des mois voire des années.
Ces scientifiques ont donc interrogé les fameux experts américains qui ont soutenu l’inutilité de regarder au microscope puisqu’ils étaient certains que ces bactéries ne s’enkystaient pas.
Quelques années plus tard, ces experts ont été reconnus sous conflit d’intérêt : ils étaient en fait financés par des laboratoires pharmaceutiques.
En France, depuis 20 ans, de nombreux professionnels de santé, comme le professeur Christian PERRONNE, chef de service des maladies infectieuses et tropicales à Garches dans les Hauts-de-Seine, ont lancé l’alerte.
Ce professeur ayant compris que les tests de dépistage sur le marché français n’étaient pas fiables, a notamment interrogé l’un des représentants du Centre National de Référence de Strasbourg, le Professeur Daniel Christmann.
Celui-ci lui a alors répondu que s’ils autorisaient des tests fiables en France, il y aurait beaucoup trop de malades !
Le professeur Jaulhac, responsable de ce centre, a affirmé dans le documentaire « Les tiques attaquent » qu’il a été payé par des laboratoires pour contrôler la qualité des tests de dépistage, mais que pour lui, cela ne posait pas de problème car tout avait bien été déclaré dans les règles.
Cela met en lumière le fait qu’il est bien en communauté d’intérêt avec les laboratoires fabricants des tests.
Le 18 juin 2016, Matthias LACOSTE se lançait dans une grève de la faim pour alerter les autorités sur ce très grave problème de santé publique.
Quelques jours après, 100 médecins lançaient l’alerte et Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, annonçait alors le plan de lutte contre la maladie de Lyme et contre les maladies vectorielles à tiques.
Des associations, comme « Le droit de guérir », créée par de nombreux malades et par Matthias Lacoste, ont été intégrées dans ce plan.
Lors d’une morsure de tique, pour nos experts français, qui suivent toujours les recommandations des experts américains, si la prise en charge est rapide, la maladie se soigne très bien en 15 à 21 jours d’antibiotiques.
Dans de très nombreux cas, la morsure passe inaperçue car l’érythème migrant n’est pas systématique et la morsure est totalement indolore. Pour ces personnes n’ayant pas été soignées rapidement, ils estiment que le même protocole de traitement est suffisant et que les patients sont donc guéris en 21 jours.
Si des symptômes persistent ou s’ils reviennent quelques mois ou quelques années après, les patients reçoivent alors un diagnostic lié aux symptômes les plus évocateurs.
Très souvent, ces patients reçoivent le diagnostic d’une maladie auto-immune mais ils peuvent aussi se retrouver en psychiatrie, car un patient qui se plaint de douleurs, et qui a des examens « normaux », est considéré comme somatisant par le monde médical.
Contrairement à la France, l’Allemagne prend en charge ses patients, en traitant la forme aiguë et chronique de cette maladie, arrivant ainsi, la plupart du temps, à des guérisons.
Certains médecins en France, respectant le serment d’Hippocrate, sont contraints de soigner en dehors des recommandations officielles.
Ils sont traqués par les médecins conseils, poursuivis par les caisses primaires d’assurance maladie et reçoivent des sanctions du conseil de l’Ordre des médecins.
Maladies auto-immunes, Pourquoi ?
Lorsque la Borrelia (bactérie historiquement à l’origine de la maladie de Lyme) est présente dans un organisme, elle a la capacité de copier les antigènes du tissu où elle se trouve et de fabriquer des protéines de surface semblables, trompant ainsi le système immunitaire.
Les agresseurs étant reconnus comme « tissus sains » par les globules blancs, le système immunitaire va déclencher une quantité anormale et colossale d’anticorps, qui vont alors s’attaquer aux Borrelias mais également aux cellules nerveuses, osseuses, glandulaires, etc… déclenchant ainsi ce qu’on appelle une maladie auto-immune.
On estime aujourd’hui qu’environ 350 maladies découleraient de cette inflammation du système immunitaire.
Pourquoi ne pas guérir les gens ?
Pour les laboratoires, 2 choix se sont présentés, il y a déjà de nombreuses années.
- Soit proposer des tests fiables pour détecter et donc soigner une maladie de Lyme dans la phase primaire, ce qui représente un coût d’environ 2000 € pour notre système de santé.
- Soit mettre en place et faire valider par le CNR de Strasbourg des tests inefficaces laissant les malades basculer dans une forme chronique de la maladie, et qui déclencheront donc toutes sortes de maladies auto-immunes et divers troubles qu’il faudra tenter de contrôler avec notamment de nouveaux traitements de surcroît plus chers, plus long et parfois inadaptés…
Exemple concret :
Soigner (et non pas guérir) une arthrite rhumatoïde (qui peut être la conséquence directe d’un Lyme non soigné à temps) va coûter environ 80.000 € par an et par personne à notre système de santé.
Nous déplorons l’enrichissement des laboratoires et l'absence de perspective de guérison pour les malades.
Les transmissions
Officiellement, on parle très souvent de la morsure d’une tique qui peut transmettre environ une quarantaine d’agents pathogènes (identifiés aujourd’hui).
Même si cela est plus rare, les insectes tel que les araignées, les aoûtats, les taons, les mouches piqueuses, les guêpes, les moustiques peuvent aussi transmettre de nombreux agents pathogènes impliqués dans la maladie de Lyme.
La transmission materno-foetale a été prouvée scientifiquement.
Pour les transfusions sanguines, aucune étude scientifique ne prouve la transmission de la Borrelia Burgdorferi. Cependant, il a été prouvé scientifiquement que la transmission de la Borrelia Miyamotoï est possible, tout comme la Babesia, l’Annaplasma, la Bartonella.
Aujourd’hui, l’Établissement Français du Sang ne fait aucune recherche sur ces agents pathogènes. Les différentes méthodes mises en place ne peuvent pas assurer la sécurité des receveurs.
Le 18 mars 2017, lors d’une conférence, le professeur Luc Montagnier affirmait que de nombreux témoignages faisaient état d’une contamination par voie sexuelle. Ce mode de transmission n’a pas été prouvé car les études scientifiques se sont arrêtées à l’examen des sécrétions vaginales et du sperme, dans lesquelles on a retrouvé les agents pathogènes responsables de maladie de Lyme.
Demain...
Lorsque cette épidémie mondiale sera reconnue en France, la sécurité sociale fera la même année plusieurs milliards d’euros d’économies !
Les laboratoires pharmaceutiques profitant de la passivité de l’Etat français ont pour le moment fait le choix de laisser des millions de Français sans aucune perspective de guérison.
Mais comment dire la vérité ?
Comment proposer des tests fiables, si chacun d’entre nous est positif au test ?
La situation est devenue tellement compliquée pour nos responsables qu’ils préfèrent jouer la montre !
Mais déterminés, des professionnels de santé, des personnalités sont en train de s’unir avec les malades pour dénoncer ce scandale sanitaire.
Nous dénonçons !
En 2007, Viviane Schaller, biologiste, a décidé d’utiliser dans son laboratoire en France un test de dépistage allemand qui est plus sensible, le western-blot Recomline de MIKROGEN (Munich). Elle a ainsi ouvert le chemin de la guérison à des dizaines de milliers de personnes car les médecins sont parvenus enfin à identifier la maladie et donc à la soigner réellement.
D’après certains experts qui ont travaillé sur le sujet, si l’ensemble des laboratoires médicaux français utilisaient le même test, ils estiment qu’environ 300 000 nouveaux cas seraient détectés chaque année contre 55.000 actuellement.
En mai 2012, les diffamations du Centre National de Référence à l’encontre de la biologiste ont poussé l’Etat ordonner la fermeture immédiate et définitive de son laboratoire.
Elle a été poursuivie et jugée récemment, et doit maintenant rembourser la somme de 288 000 euros à la sécurité sociale car d’après le gouvernement français et l’Ordre des médecins, la caisse primaire d’assurance maladie n’avait pas à prendre en charge des tests faits « indûment » et ne respectant pas le protocole de diagnostic officiel (consensus de 2006).
Un nombre très important de personnes paralysées, souffrantes, et en grande difficulté financière, ont retrouvé une vie normale. Pourtant, l’Etat français a refusé lors de son procès, à plusieurs reprises, d’entendre les témoignages des milliers de patients guéris grâce à elle.
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Bernard Christophe, pharmacien diplômé d’Etat, atteint de la maladie de Lyme, et inventeur du Tic Tox (produit utilisé mondialement et connu pour ses bienfaits, grâce à un complexe d’huiles essentielles faisant éclater les bactéries de la maladie de Lyme et permettant, pour certains cas, une guérison en quelques mois) a vu son produit interdit en France sous prétexte de toxicité. Cependant, il est vendu en pharmacie en Allemagne.
Il a porté plainte auprès du procureur de la République pour non assistance à personne en danger et contre les responsables de ce déni.
Cet homme comme tous les lanceurs d’alertes qui parlent de la maladie de Lyme a été condamné.
Il a fait appel de son procès au pénal, mais il n’a pas pu supporter les pressions et accusations pour « charlatanisme » de la part de l’Ordre des médecins et du Centre National de Référence, il a fait un infarctus myocardite mortel 3 jours avant le verdict de son procès.
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Même si les cas sont plus rares, il n’y a pas que les tiques qui transmettent cette maladie mais aussi une dizaine d’insectes, comme par exemple les puces, les mouches piqueuses, les araignées, les aoûtats, les guêpes, les moustiques…
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On sait aujourd’hui qu’une tique ne transmet pas que cette bactérie mais une multitude d’agents pathogènes. Les scientifiques, comme Muriel Vayssier-Taussat (INRA) affirment connaître seulement 20% des virus, 50% des bactéries et des parasites. La route sera longue surtout si les financements ne sont pas à la hauteur des enjeux !
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Des experts français (des vrais) affirment qu’on retrouve les agents pathogènes de la maladie de Lyme chez 80% à 90% de la population française.
La plupart d’entre eux ont heureusement un système immunitaire qui maintient les bactéries sous contrôle. Ils sont donc porteurs sains.
Mais un grand stress, une dépression, un accident, une transfusion sanguine, une anesthésie générale ou tout simplement le vieillissement, peut provoquer un affaiblissement du système immunitaire, favorisant ainsi la prolifération des bactéries pathogènes, qui sont alors capables d'envahir en quelques jours tout l’organisme et d'engendrer ainsi toutes sortes de pathologies comme par exemple un Parkinson, un Alzheimer, une Spondylarthrite ankylosante, une Sclérose en plaque, des troubles psychiques, cardiaques, oculaires, dermatologiques, certaines formes d’autisme et de diabètes, une fibromyalgie, bref, la plupart des maladies auto-immunes sont concernées…
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L’accumulation des métaux lourds dans l’organisme provoque une hypersensibilité aux ondes électromagnétiques ce qui provoque chez de nombreux malades, des migraines, des insomnies, et des brûlures.
Les antennes des opérateurs téléphoniques devraient émettre à 0.6 volts mètre pour ne pas être nocives. Mais la plupart des pays Européenne ont fait le choix d’émettre à 6 volts mètre, seul notre pays a fait le choix d’autoriser une émission à 60 volts mètre.
Stressant ainsi nos cellules, et empêchant une guérison dans de bonnes conditions pour les malades chroniques.
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De très nombreux enfants autistes pris en charge avant l’âge de 8 ans et traités pour des co-infections chroniques et particulièrement une infection par la Sutterella (Bactérie proche des rickettsies), guérissent.
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D’après l’étude du laboratoire d’analyse médicale de Viviane Schaller, 70% des gens atteints de fibromyalgie en France ont des spirochètes de la maladie de Lyme actifs en eux.
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A l’initiative de la Direction Générale de la Santé, le Haut Conseil de la Santé Publique a rendu un rapport édifiant le 4 décembre 2014 (rapport Zylbermann).
Le rapport signale qu’il est urgent de revoir la fiabilité des tests de dépistage de la maladie de Lyme utilisés en France car 7 points d’anomalies ont été observés.
Malgré cela, depuis cette date, rien n’a réellement bougé.
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La vice-présidente du Sénat et Sénatrice des Hauts-de-Seine, Isabelle Debré, a interpellé (à la demande de Julien Ferreira, malade de Lyme) à travers une question ouverte, la ministre des affaires sociales et de la santé.
Malgré l’alerte lancée par les experts du Haut Conseil de la Santé Publique en 2014, Marisol Touraine affirme que les tests sont fiables puisque le Centre National de Référence le confirme.
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Le professeur Luc Montagnier , prix Nobel de médecine et co-découvreur du SIDA tire la sonnette d’alarme depuis des années et déplorait encore le 18 mars 2017, lors d’une conférence à Paris, que les tests nesoient pas fiables pour cette maladie et qu’aucun principe de précaution ne soit mis en place lors de transfusion sanguine pour contrôler les agents pathogènes responsables de ce qu’on appelle la maladie de Lyme.
La maladie de Lyme, au sens historique, est rattachée à la bactérie « Borrelia Burgdorferi ». Mais le niveau de connaissance actuel permet d’affirmer la présence d’autres bactéries intra cellulaires, telles Rickettsies, mycoplasmes, chlamydiae, coxiella burnetti, bartonella...
On sait aujourd’hui qu’une tique peut transmettre plus de 40 infections différentes (connues à ce jour), il est donc plus approprié de parler de maladie vectorielle à tiques que de maladie de Lyme.
On parle de maladie de Lyme car il s'agit du terme médiatiquement le plus utilisé et c’est le nom qui parle à tous.
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Beaucoup de malades se font passer pour des animaux pour être dépistés, car les laboratoires vétérinaires utilisent des techniques d’amplification moléculaire (PCR) qui permettent de détecter l’ADN des bactéries citées ci-dessus. Prouvant ainsi la présence de celles-ci.
Malheureusement, l’Etat français a déjà sanctionné des laboratoires vétérinaires ayant effectué des tests animaux sur des personnes.
Le test de première intention ELISA utilisé et imposé pour la maladie de Lyme, recherche lui, les anticorps. Trouver des anticorps ne veut pas dire que la bactérie est toujours présente mais veut juste dire qu’il y a eu un contact avec celle-ci. Ce test est capable de dépister 3 souches de bactéries principalement américaines. Ce qui est très étonnant, puisqu’il n’intègre pas le dépistage des 15 souches les plus couramment trouvées en Europe.
Cela explique en partie le très grand nombre de tests de dépistage faussement négatifs.
Nous demandons
Au vu de la situation actuelle, nous demandons des mesures concrètes et immédiates pour faire face à cette épidémie. Voici la liste des mesures à prendre en urgence :
- La mise en place d’une cellule de crise sanitaire.
- Une annonce officielle de l’épidémie qui touche notre pays comme le reste du monde depuis plus de 30 ans.
- La suspension de la conférence de consensus de 2006.
- La mise en place de contrôles réellement efficaces pour la sécurisation des produits sanguins.
- L’annulation des poursuites à l’encontre des médecins soignant ce type d’infection et de Viviane Schaller.
- L’autorisation d’utiliser les antibiotiques au long court.
- La prise en charge des traitements allopathiques et naturels grâce à la mise en place d’une affection de longue durée.
- La reconnaissance et la prise en charge immédiate par la MDPH du caractère invalidant de cette maladie.
- L’inscription de cette maladie dans la liste des maladies à déclaration obligatoire.
- Le retrait du test Elisa parce qu’il ne recherche en moyenne que 3 souches de bactéries principalement américaines et pas les 15 souches les plus couramment trouvées en Europe.
- L’utilisation en première intention du test Western-Blot utilisant des antigènes recombinants comme le test Allemand recombiné de Mikrogen.
- L’autorisation d’utiliser et de se faire rembourser tous les tests de dépistage existants sur le marché, y compris les tests vétérinaires.
- La prise en charge de l’aspect clinique dans la pose du diagnostic.
- L’annulation d’un PNDS à huis clos et la création d’un PNDS ouvert avec diffusion de celui-ci au public via les réseaux sociaux.
- Une grande enquête sur la responsabilité de chacun dans cette affaire (les valideurs de la conférence de consensus de 2006, les responsables et représentants du CNR de Strasbourg, les responsables et les représentants de la SPILF, la ministre des affaires sociales et de la santé, le directeur général de la santé, le directeur de la Haute Autorité de Santé).
- Le déblocage immédiat de fonds conséquents pour la recherche.
- La formation immédiate des médecins par le groupe de recherche Chronimed et le centre de formation ChroniFrance.