Qu’est-ce qu’un mauvais médecin pour Le droit de guérir ?
Un mauvais médecin est un médecin qui :
- Refuse de recevoir ou de soigner un patient souffrant de la forme chronique de la maladie de Lyme parce qu’il a par exemple un test Elisa ou/et western blot négatif.
- Propose uniquement un traitement pour la psychiatrie à un malade souffrant d’une forme chronique d’une maladie infectieuse.
- Maltraite un patient par des propos, des gestes ou toute autre forme de maltraitance.
- Fait un business trop lucratif et sans résultat significatif des thérapies qu’il utilise.
- Ne remet pas en question les diagnostics posés, maintien les malades dans l’errance, et ne cherche pas à se former ou se renseigner.
Dois-je noter mon spécialiste de la maladie de Lyme ?
Oui, car nous avons besoin d’avoir des statistiques pour diriger les malades en errance vers les bons médecins.
Est-ce que ce service ne va pas nuire à nos médecins spécialisés dans le Lyme ?
Notre objectif n’est pas de nuire aux médecins qui nous soignent, mais de contraindre les détracteurs à soigner réellement les malades souffrant de la forme chronique de la maladie de Lyme. Nous nous engageons à protéger les professionnels de santé qui nous soignent objectivement.
Quel professionnel de santé dois-je noter ?
L’ensemble des interlocuteurs en rapport avec la santé peuvent être renseignés; pharmacien, infirmier, biologiste, vétérinaire, kinésithérapeute, naturopathe, homéopathe, etc…
Peut-on considérer que donner le nom des médecins au Directeur Général de la Santé (DGS) est de la délation ?
Lorsque nous avons rencontré le DGS, nous lui avons fait part de nos attentes (disponibles ici).
De son côté, il nous a retracé l’historique et l’état d’avancement du Plan de lutte contre la maladie de Lyme et contre les maladies vectorielles à tiques.
Face à notre insistance sur l’urgence de la situation, aux nombreux suicides, à l’errance rencontrée par les malades, à la maltraitance occasionnée par certains détracteurs de la forme chronique de cette maladie, il nous a proposé de lui transmettre le nom des médecins ne faisant pas bien leur travail.
Nous avons donc demandé par sondage à nos adhérents, si nous devions communiquer le nom des médecins ne faisant pas bien leur travail. L’association suivra donc la décision commune. Regarder le sondage