Le constat initial est que la maladie de Lyme, au moins sous sa forme chronique, fait l’objet depuis maintenant de nombreuses années d’un débat scientifique.

 

Pour autant, ce débat ne semble pas être mené à armes égales et le dogmatisme des détracteurs de la maladie de Lyme chronique s’impose en dépit des recherches scientifiques de façon autoritaire au détriment de la réalité et des souffrances des malades.

 

Il semblerait que derrière ce dogmatisme, se dissimule des préoccupations très éloignées d’intérêts purement médicaux.

Cette situation plonge une patientèle de plus en plus importante dans une errance médicale et dans un désespoir chaque jour plus important et malheureusement relayé par certaines institutions médicales.

 

Le débat n’étant plus possible du fait de ces avis tranchés, une solution judiciaire s’impose.

 

Il faut en effet, dans ces problématiques de santé publique, faire en sorte que la vérité judiciaire prenne le dessus sur les intérêts des partisans.

 

Ce n’est qu’à ce prix que pourront être reconnus la situation et le préjudice de tous ceux qui, depuis des années, souffrent d’un déni qui n’est plus tolérable.

 

Une plainte pénale pour non-assistance à personne en danger permettra la désignation d‘un juge d’instruction ou d’un collège de juges qui auront pour mission d’alimenter un dossier objectif au travers d’expertises et d’une documentation internationale qui aujourd’hui fait singulièrement défaut dans le débat français.

 

Une vérité médicale imposée viendra se substituer une vérité judiciaire où les malades atteints de la maladie de Lyme verront leur opinion et leur analyse prises enfin en considération.

 

Le nombre de plaignants ne peut laisser indifférent la justice qui, au-delà du problème de santé publique, ne manquera pas d’entrevoir le spectre d’un scandale sanitaire.

 

Au travers de cette plainte, nous pourrons alimenter comme il se doit l’instruction par la production de témoignages et d’expertises et rééquilibrer un débat qui jusqu’à présent nous échappe, le poids d’une prétendue science écrasant le calvaire de ceux qui sont réduits à souffrir en silence.

 

                                                                                 Me Bernard Benaïem

 

 

Consulter la plainte pénale :

 

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Pour rejoindre la plainte pénale, il faut :

 

- Une copie de votre pièce d'identité recto/verso.

 

- Sur papier libre : vos coordonnées téléphoniques, postales, votre email, et dans la mesure du possible le témoignage relatant l'historique de la maladie (par ordre chronologique).

 

- Un chéque d'un montant de 240 à l'ordre de Maître Benaïem (Il est possible de payer en plusieurs fois, voir directement avec Me Benaïem). 

 

- L'attestation ci-dessous complétée et signée.

 

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Envoyer l'ensemble à :

 

CABINET DU PARC MONCEAU

18-20, boulevard de Courcelles 

75017 Paris

Dès réception de l'ensemble des documents et après encaissement du réglement dans sa globalité, celui-ci vous transmettra votre facture d'un montant de 240 euros TTC.

 

Maitre Benaïem se tient à votre disposition pour toutes demandes d'informations complémentaires par mail à cabinet@benaiem.com ou par téléphone au 01 47 03 01 01.