Avant de partir sur des actions de terrain, notamment sur la ville de Strasbourg, notre association a souhaité lancer une nouvelle fois l'alerte à travers un courrier adressé au Président de la République Française.

 

La vidéo

Le courrier

Courrier à Emmanuel Macron le 29 septembre 2017
Monsieur le Président Emmanuel Macron le[...]
Document Adobe Acrobat [384.7 KB]

Le contexte

 

Les infections "transmises par les tiques", appellées par certains professionels de santé "infections froides", sont à l'origine de nombreuses erreurs de diagnostics.

 

On parle de spondylarthrite ankylosante, de maladie d'Alzheimer, de diabète, de maladie de Crohn, de sclérose en plaques, de fibromylagie, de divers troubles psychiatriques comme les troubles bipolaires ou la schizophrénie, et bien d'autres...  

 

Responsables et demain coupables, les enjeux sont considérables pour certains professeurs en médecine qui n'ont jamais pris en compte la littérature scientifique internationale prouvant la persistance d'agents pathogènes comme la borrelia burgdorferi, bactérie officiellement et historiquement responsable de la maladie de Lyme.

 

D'après les médecins du groupe de recherche CHRONIMED, qui travaillent autour de Luc Montagnier (co-découvreur du Virus du Sida), il se pourrait que cette bactérie soit actuellement présente chez 80 % de la population française.

 

Heureusement, dans la plupart des cas, le système immunitaire fait son travail est maintient les agents pathogènes sous contrôle.

 

Mais l'explosion des maladies auto-immunes, ainsi que de l'autisme, n'est que l'illustration d'un système immunitaire affaiblie et d'une population en danger !   

 

Le Plan de Lutte contre la maladie de Lyme et contre les maladies vectorielles à tiques se focalise en grande partie sur la prévention et l'accent est mis principalement sur les tiques.

 

Un nouveau Protocole National de Diagnostic et de Soins (PNDS) est tenu à huis clos ! Etonnant...

 

La Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPLIF) est juge et partie dans ce PNDS.

 

Un jeu dangereux quand on sait qu'elle a fait partie des valideurs des recommandations qui font foi encore aujourd'hui, et qui imposent des tests de dépistage reconnus officiellement non fiables depuis 2014, et que la façon de traiter la forme chronique n'est pas adaptée à la littérature scientifique internationale.

 

Une honte !

 

Malgré les publications scientifiques qui prouvent la persistance de certains agents pathogènes comme la Babesia, la Bartonnella, l'Anaplasma lors de transfusions sanguines, l'Etablissement Français du Sang ne fait rien.

 

Alors que la transmission materno-foetale a été prouvée scientifiquement, Santé Publique France a déclaré aux associations qu'elle ne souhaitait pas en informer la population.

 

Quand on voit le nombre de témoignages de contamination entre conjoints qui explose sur les réseaux sociaux.

 

Et quand on ne sait pas ce que 11 vaccins feront sur un système immunitaire affaiblie.

 

Il est temps de se poser les bonnes questions et de prendre les mesures à la hauteur des enjeux.

 

Nous attendons que Le Président de la République Française  agisse en ce sens, il en va de l'avenir de millions de français encore dans la plus grande ignorance.

 

Mais plus pour très longtemps ! 

Les mesures que nous demandons

- Le déblocage immédiat de fonds conséquents pour la recherche. 

- La formation immédiate des médecins.

- La reconnaissance de la forme chronique de la maladie de Lyme (comme aux Etats-Unis) et la reconnaissance de celle-ci en Affection de Longue Durée (ALD).

- Le retrait des tests de dépistage actuels. 

- La prise en charge et l’accès immédiat à des traitements rééllement adaptés.

- L’annulation des poursuites à l’encontre des professionnels de santé soignant et dépistant ce type d’infection.

- L'évaluation des risques que représentent 11 vaccins sur le système immunitaire.

- L'intégration de l'association dans les travaux à venir et la création d'un PNDS public. 

Les photos 

L'article dans l'OBS